Les entreprise B2B perdent un lead chaque jour sur les médias sociaux. Compte tenu de la valeur d’un client corporate, c’est une opportunité commerciale majeure dont elles passent à côté. Ne soyez pas l’une d’entre elles et sachez profiter du social listening pour améliorer vos résultats.
Finie l’écoute passive des médias sociaux, place à l’utilisation intelligente de la social data pour révéler des consumer insights utiles et pertinents.
Le 8 janvier 2017 – Ottawa – Dans le cadre de sa mission continue de bâtir un meilleur Canada en ligne, L’Autorité canadienne pour les enregistrements Internet (ACEI) a annoncé aujourd’hui qu’elle devenait le premier incubateur du secteur public canadien à se joindre au programme Activate pour les startups d’Amazon Web Services (AWS).
Les projets qui font partie du Programme d’investissement communautaire de l’ACEI pourront tirer profit du programme Activate pour les startups d’AWS afin d’amplifier l’activité en ligne et accroître la distribution de nouveaux produits et services.
Le Programme d’investissement communautaire redonne à la collectivité en finançant des projets communautaires innovants et des travaux de recherche visant à bâtir un Internet plus robuste, sécuritaire et accessible pour toute la population canadienne. Le programme a mis en place de nouvelles infrastructures, favorisé la croissance de la capacité du Canada dans le domaine de la littératie numérique, permis à des OSBL d’offrir des services en ligne et aidé des chercheurs universitaires à mieux analyser les enjeux numériques émergents.
Points essentiels
Depuis le lancement en 2014, le Programme d’investissement communautaire a versé 4,2 millions de dollars en subventions à plus de 100 projets.
Le Programme d’investissement communautaireentame sa cinquième année et commencera à accepter les demandes pour les nouveaux projets le 15 janvier.
Avec AWS Canada depuis décembre 2016, AWS peut stocker des données canadiennes au Canada, ce qui est essentiel pour de nombreuses applications du secteur public.
Ce partenariat renforce le financement existant d’un million de dollars versé par le Programme d’investissement communautaire de l’ACEI avec l’utilisation de technologies et services de soutien qui peuvent ajouter jusqu’à 5 % à la valeur du programme.
L’Autorité canadienne pour les enregistrements Internet (ACEI) assure la gestion du domaine de premier niveau .CA au nom de toute la population canadienne. En tant qu’organisation fondée sur ses membres, L’ACEI élabore et met en place des politiques qui soutiennent la communauté Internet du Canada et représente le registre .CA internationalement.
Quand un pro du marketing numérique se lance dans le commerce de détail, il ne faut pas s’étonner que l’aventure s’amorce en ligne. Ce fut le cas de la boutique pour hommes Rituels. Mais celle-ci explore maintenant bien d’autres canaux de distribution. Continuer la lecture de « Le consultant numérique devenu commerçant irrévérencieux »
Une stratégie de référencement naturel sera d’autant plus efficace qu’elle respecte quelques règles de base. L’événement We Love SEO, organisé par quatre acteurs du Search marketing, a été l’occasion de mettre en avant quelques bonnes pratiques.
L’e-réputation est l’image qu’on se fait d’un individu ou d’une organisation à partir des traces qui le ou la concernent sur Internet. Il y a deux composantes : d’une part l’identité, c’est-à-dire l’image qu’on va bâtir, les compétences mises en avant, les points de différenciation ; d’autre part, la réputation, qui est ce qu’on dit de nous. Il faut la surveiller et éviter que d’autres ne la salissent. Deux risques existent : que votre identité virtuelle ne soit pas représentative ou que votre réputation soit négative. En être conscient est essentiel car les emplois sont pourvus par networking et la prospection téléphonique fonctionne de moins en moins.
Pour améliorer votre visibilité sur Internet, vous devez impérativement être adoubé par Google dont les robots d’indexation parcourent le Web en permanence. Le défi à relever : retenir leur attention ! C’est ce que l’on appelle le SEO…
Passer à l’ère de la Data nécessite de revoir le fonctionnement des équipes marketing. C’est que décrit Guillaume Planet, Vice Président Digital Marketing, et média Worldwide de Seb. Il s’est exprimé le 7 avril à l’occasion de l’événement organisé par (suite…)
Le détaillant de t-shirts montréalais Poches & Fils fait partie des premiers détaillants québécois à avoir bâti une boutique en ligne avec Lightspeed eCom. [Photo : courtoisie]
C’était écrit dans le ciel que les deux coqueluches des technos canadiennes finiraient par se marcher sur les pieds. Quelques semaines après l’inauguration des nouveaux bureaux de Shopify à Montréal, voici que Lightspeed lance ce matin Lightspeed eCom. La nouvelle plateforme de création de boutiques en ligne, issue de l’acquisition de la Hollandaise SEOshop en 2015, s’adresse en effet au même marché que Shopify.
«Nous nous attendons à devenir un vrai joueur dans le créneau du commerce en ligne et à ce que notre plateforme soit adoptée par des détaillants qui n’ont pas de boutiques physiques», lance le pdg de Lightspeed, Dax Dasilva, qui a interrompu ses vacances en Israël pour répondre à mes questions. Il fait valoir que la précédente plateforme de commerce en ligne de Lightspeed était beaucoup moins complète, puisqu’elle était avant tout une offre complémentaire destinée à ses clients utilisant déjà son logiciel en ligne de point de vente, la vache à lait de l’entreprise montréalaise.
Avec un forfait de base coûtant 51$ US par mois, Lightspeed eCom se positionne comme une solution plus coûteuse que ses principaux concurrents nord-américains. Notamment, le forfait le moins cher de Shopify coûte à peine 9$ par mois, et celui de Bigcommerce, 29 $ US par mois. C’est du reste un positionnement similaire à celui que la Montréalaise occupe avec son système de point de vente, qui vise les détaillants ayant un inventaire relativement étendu et plusieurs points de vente, laissant aux joueurs comme Square et Shopify les micros-commerces.
Pour justifier le prix supérieur de sa plateforme, Dax Dasilva explique qu’elle est assez puissante pour accompagner un détaillant local partout dans le monde. Or, selon Dax Dasilva, ses concurrents nord-américains ont avant tout été conçus pour des détaillants faisant affaire au Canada et aux États-Unis : «Parce qu’elle a été développée en Europe, notre plateforme a été conçue dès le début pour supporter plusieurs langues et plusieurs devises, lance Dax Dasilva. Je pense que les détaillants qui prennent de l’expansion avec d’autres plateformes pourraient atteindre leurs limites.»
Sources d’opportunités pour les annonceurs, les médias sociaux sont également les catalyseurs des crises de réputation. Comment identifier les bad buzz ? Comment les traiter ? Peut-on les prévenir ? Décryptage.