Vos 5 grandes priorités en matière de marketing pour 2018

Auteur: Martin Wiedenhoff, Conseiller d’affaires

Les meilleurs entrepreneurs savent qu’ils doivent consacrer du temps, de l’argent et des ressources humaines au marketing s’ils souhaitent accroître la reconnaissance de leur marque, augmenter les ventes et devenir des chefs de file dans leur secteur.

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J’Instagram donc tu achètes

Auteur: Elvire von Bardeleben

Source:  http://www.lemonde.fr/m-mode/article/2017/10/21/j-instagram-donc-tu-achetes_5204075_4497335.html#GcIMZVyljRBosgR4.99

En postant une vidéo de baskets ou une photo d’une robe noire, les influenceurs sont devenus un relais essentiel entre les marques et les consommateurs. Une puissance 3.0 qui entraîne aussi des excès.

 

Comment faisait-on la promotion d’un parfum il y a encore cinq ans ? Assez simplement. La marque de cosmétique payait une actrice pour faire « égérie », placardait sa photo dans les Abribus, la filmait dans un spot élégant, subjectif ou abscons, diffusé à la télévision ou au cinéma. Aujourd’hui, cette tactique ne suffit plus : il faut aussi veiller à ce que la promotion soit assurée par des influenceurs – c’est-à-dire des leaders d’opinion sur les réseaux sociaux. Mais ce nouveau mode de communication devenu indispensable pose problème. Tout le monde sait reconnaître une publicité quand elle est affichée dans un panneau JCDecaux. En revanche, lorsqu’elle prend la forme d’une image carrée sur un fil Instagram, ça devient moins clair.

Et le blogueur fut

L’histoire commence au milieu des années 2000, avec l’apparition des blogs de mode et de beauté. Ils mélangent alors les confessions de type journal intime et la recommandation vestimentaire ou cosmétique. Les blogueurs, qui appartiennent pour la plupart d’entre eux à la « génération millennials », née entre 1980 et 1999, représentent alors une sorte de contre-pouvoir aux magazines, dans lesquels ils ne se reconnaissent pas. Et incarnent aux yeux de leur communauté une personne « authentique », qui donne son avis sur des vêtements ou des parfums de façon désintéressée.

« Je ne savais même pas que je pouvais être payée quand j’ai commencé. J’habitais en Suisse, je n’avais pas une vie folle, je rêvais seulement de m’échapper », se souvient Kristina Bazan, une des influenceuses les plus puissantes de la mode qui cultive un stye de femme fatale légèrement gothique.

« Avant, j’étais blonde, je souriais tout le temps, j’étais ambition à fond. A un moment, ça va, je ne fais pas la paix dans le monde non plus », Kristina Bazan.

Les marques ont d’abord regardé les blogs se multiplier avec perplexité et sans intervenir. Mais la puissance grandissante des réseaux sociaux a changé la…

 

Personal branding et e-réputation

Auteur: E-marketing.fr

L’e-réputation est l’image qu’on se fait d’un individu ou d’une organisation à partir des traces qui le ou la concernent sur Internet. Il y a deux composantes : d’une part l’identité, c’est-à-dire l’image qu’on va bâtir, les compétences mises en avant, les points de différenciation ; d’autre part, la réputation, qui est ce qu’on dit de nous. Il faut la surveiller et éviter que d’autres ne la salissent. Deux risques existent : que votre identité virtuelle ne soit pas représentative ou que votre réputation soit négative. En être conscient est essentiel car les emplois sont pourvus par networking et la prospection téléphonique fonctionne de moins en moins.

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Lightspeed lance un «Shopify killer»

Auteur: JULIEN BRAULT

Le détaillant de t-shirts montréalais Poches & Fils fait partie des premiers détaillants québécois à avoir bâti une boutique en ligne avec Lightspeed eCom. [Photo : courtoisie]

C’était écrit dans le ciel que les deux coqueluches des technos canadiennes finiraient par se marcher sur les pieds. Quelques semaines après l’inauguration des nouveaux bureaux de Shopify à Montréal, voici que Lightspeed lance ce matin Lightspeed eCom. La nouvelle plateforme de création de boutiques en ligne, issue de l’acquisition de la Hollandaise SEOshop en 2015, s’adresse en effet au même marché que Shopify.

«Nous nous attendons à devenir un vrai joueur dans le créneau du commerce en ligne et à ce que notre plateforme soit adoptée par des détaillants qui n’ont pas de boutiques physiques», lance le pdg de Lightspeed, Dax Dasilva, qui a interrompu ses vacances en Israël pour répondre à mes questions. Il fait valoir que la précédente plateforme de commerce en ligne de Lightspeed était beaucoup moins complète, puisqu’elle était avant tout une offre complémentaire destinée à ses clients utilisant déjà son logiciel en ligne de point de vente, la vache à lait de l’entreprise montréalaise.

Avec un forfait de base coûtant 51$ US par mois, Lightspeed eCom se positionne comme une solution plus coûteuse que ses principaux concurrents nord-américains. Notamment, le forfait le moins cher de Shopify coûte à peine 9$ par mois, et celui de Bigcommerce, 29 $ US par mois. C’est du reste un positionnement similaire à celui que la Montréalaise occupe avec son système de point de vente, qui vise les détaillants ayant un inventaire relativement étendu et plusieurs points de vente, laissant aux joueurs comme Square et Shopify les micros-commerces.

Pour justifier le prix supérieur de sa plateforme, Dax Dasilva explique qu’elle est assez puissante pour accompagner un détaillant local partout dans le monde. Or, selon Dax Dasilva, ses concurrents nord-américains ont avant tout été conçus pour des détaillants faisant affaire au Canada et aux États-Unis : «Parce qu’elle a été développée en Europe, notre plateforme a été conçue dès le début pour supporter plusieurs langues et plusieurs devises, lance Dax Dasilva. Je pense que les détaillants qui prennent de l’expansion avec d’autres plateformes pourraient atteindre leurs limites.»

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Source: http://www.lesaffaires.com/blogues/julien-brault/lightspeed-lance-un-shopify-killer/585860