« J’ai hâte de tester un nouvel e-commerce capable de séduire la génération Snapchat », Catherine Barba

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Catherine Barba, fondatrice et CEO de Peps Lab Innovation in retail et fondatrice de WinforumNY, revient sur les tendances du retail en provenance des États-Unis à la veille du Retail’s Big Show de New York.

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Alibaba investit massivement au profit de l’expérience-client

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Invitée au Marketing Day, qui se tenait le 28 novembre à Paris, Laura Pho Duc, directrice markerting & communications d’Alibaba Group, est revenue sur l’investissement massif du groupe en matière d’intelligence artificielle et de R&D, et ce afin d’améliorer l’expérience-client.

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Misez sur vos boutiques pour mousser les ventes sur le web

Auteur: Lesaffaires.com

Source: https://www.lesaffaires.com/blogues/evenements-les-affaires/misez-sur-vos-boutiques-pour-mousser-les-ventes-sur-le-web/599471

Indochino

Spécialisée en mode masculine sur mesure, la société canadienne Indochino transforme actuellement le paysage du commerce du détail. Afin de vendre plus de 1 million d’habits par année d’ici 2020, l’entreprise mise à la fois sur la force du web et l’expérience client offerte dans ses salles d’exposition. Une stratégie payante qui se traduit par une augmentation du chiffre d’affaires de plus de 50% depuis deux ans. Et c’est loin d’être terminé.

 

« Ce sont plus de 150 boutiques que nous comptons ouvrir d’ici 2020», soutient Drew Green, président directeur général d’Indochino. M. Green sera de passage à Montréal lors de la conférence eCommerce, présentée par les Événements Les Affaires, le 30 janvier prochain.

 

Priorité États-Unis

 

Jusqu’à maintenant, l’entreprise de Vancouver dispose de 19 salles de montres en Amérique du Nord, dont huit au Canada. Drew Green veut doubler ce nombre d’ici un an. « Les États-Unis représentent actuellement le territoire prioritaire à développer», soulève le PDG. Indochino vient d’ailleurs d’emménager au Mall of America, à Bloomington, au Minnesota. Il s’agit d’un des plus vastes centres d’achat en Amérique du Nord qui attire plus de 40 millions de visiteurs chaque année.

 

En plus de privilégier les mégas-centres d’achat hautement fréquentés, Indochino préconise des emplacements en fonction des marchés où elle recrute le plus de clients. Une donnée aisément accessible via les ventes qui s’effectuent sur le web depuis la création de l’entreprise en 2007, signale le manufacturier.

 

eCommerce

 

Pas de stock…ni de caisse enregistreuse

 

Notez que chaque boutique -qui inclut un salon du marié- ne comprend aucun stock. Les mannequins présentent les costumes et différentes options de personnalisation sont offertes. « Ce sont essentiellement des salles d’exposition où nos consommateurs sont invités à vivre une expérience client complètement différente, et ce, sur rendez-vous avec un de nos stylistes. Ils peuvent toucher, comparer et essayer nos vêtements fabriqués sur mesure. Nous proposons une expérience de magasinage très tactile, engageante et personnelle. Les clients n’ont ensuite qu’à commander pour recevoir leur achat à la maison », indique M. Green. À ce propos, Indochino vient de porter de quatre à trois semaines le délai de livraison de ses vêtements fabriqués sur mesure.

 

Ne cherchez pas non plus de caisses enregistreuses. Tout se fait à partir d’ordinateurs iMacs. « Nos stylistes sont équipés d’un iPad afin d’ajouter les options du client tout au long du rendez-vous », indique Drew Green. Il tient à préciser que ce modèle d’affaires va si bien que l’investissement pour chaque salle d’exposition est payé en un an.

 

« Cela fait presque trois ans que nous avons ouvert notre première salle de montre permanente, passant ainsi d’une marque en ligne à une marque de commerce de détail. Cette décision d’investir massivement dans la brique et le mortier, à un moment où la plupart se retirent de ce marché, est, je le reconnais, audacieuse de notre part. Pourtant, nous sommes convaincus que notre approche constitue l’avenir du commerce de détail. »

Le site web de Mobilia au cœur de sa stratégie d’attraction de clients

Auteur: Lesaffaires

Source: https://www.lesaffaires.com/blogues/evenements-les-affaires/le-site-web-de-mobilia-au-coeur-de-sa-strategie-d-attraction-de-clients/598975

Mobilia

Pourquoi se hâter d’ouvrir des magasins dans l’Ouest canadien quand on peut tester le marché avec son site Internet ? Voyez comment Mobilia a choisi de s’implanter à Vancouver et à Calgary. Et comment elle se sert de son site pour générer davantage de visites dans ses huit magasins du Québec et de l’Ontario. 

Avoir pignon sur rue dans l’Ouest canadien figure dans le plan de croissance de Mobilia. Mais avant, l’entreprise veut se faire désirer. « On développe le marché uniquement en ligne pour le moment, car cela n’entraîne pas de coûts faramineux, explique sa directrice marketing et e-commerce, Sophie Ohayon. L’idée, c’est de se faire connaître et de créer des attentes en vue d’ouvrir un premier magasin dans trois ou quatre ans. »

Pour stimuler les ventes en ligne dans cette région, le détaillant de meubles mise sur un mélange d’événementiel, de relations de presse et de collaborations avec des influenceurs. Par exemple, une designer d’intérieur publie sur son blogue des photos des décors qu’elle crée avec des meubles de Mobilia. En septembre dernier, l’entreprise s’est aussi associée avec une autre designer pour meubler le lounge VIP d’une grande foire commerciale à Vancouver, le Interior Design Show.

« Ça nous a permis de faire parler de nous, dit celle qui fera partie des invités de lconférence e-Commerce, présentée par les Événements Les Affaires le 30 janvier prochain. On est quand même dans un secteur où il faut toucher et essayer les produits pour en comprendre la qualité. »

« Pour donner confiance aux consommateurs en notre marque, un site Internet ne suffit pas, poursuit-elle. C’est important d’avoir aussi une touche humaine, d’autant plus qu’on parle ici de vendre en ligne des canapés à 1500 $ ! Et si nous collaborons surtout avec des designers d’intérieur, c’est que les consommateurs utilisent beaucoup leurs services là-bas. »

Une stratégie qui fonctionne à merveille. Il y a un an à peine, Mobilia était totalement inconnue dans l’Ouest canadien malgré ses 51 ans d’existence. Depuis, elle y enregistre une croissance substantielle des visites sur son site. Le taux de conversion de visiteurs en acheteurs dans ce coin du pays est même deux fois plus élevé qu’au Québec et en Ontario. Une performance qui s’explique toutefois en partie par le fait que l’entreprise n’y a pas encore de points de vente physiques.

Passer du site web aux magasins

Au Québec et en Ontario, l’enjeu est non seulement de convertir les visiteurs du site web en acheteurs, mais aussi de les inciter à se rendre en boutique. « Le prémagasinage en ligne est ancré dans les habitudes des consommateurs, dit Sophie Ohayon. Mais nous remarquons aussi qu’ils peuvent faire plusieurs allers-retours entre le site et le magasin. »

Mobilia procède d’ailleurs en ce moment à une refonte complète de son site web dans le but d’augmenter son taux de conversion, en ligne et en magasin. « En analysant les transcriptions du clavardage en ligne, nous avons constaté que les clients posaient beaucoup de questions techniques sur les meubles, poursuit la conférencière. Notre nouveau site donnera donc une information plus détaillée, les dimensions de l’assise d’un fauteuil par exemple. » Il offrira aussi davantage de contenu de type idées déco. « Plus on déploie de mots-clés et de contenu, meilleur est le référencement », ajoute-t-elle.

L’entreprise songe aussi à se doter d’une plateforme qui permettrait à ses conseillers aux ventes de poursuivre la conversation amorcée avec des clients en magasin. « Ça pourrait prendre la forme d’un concept comme Pinterest où l’on pourrait partager des idées et des photos », donne en exemple Sophie Ohayon.

Le e-commerce européen devient réalité

Auteur: heso59

Source: http://www.commentcamarche.net/news/5870662-le-e-commerce-europeen-devient-realite

Le e-commerce européen devient réalité

Les consommateurs vont pouvoir plus facilement acheter sur les sites de tous les pays de l’Union Européenne.

(CCM) — Cette décision de la Commission Européenne va révolutionner le e-commerce en Europe, en mettant fin au blocage géographique des sites de vente en ligne. Concrètement, dès la fin 2018, les clients pourront acheter sur n’importe quelle version d’un site marchand.

Avant de trouver un accord sur cette nouvelle réglementation, les Etats membres ont commencé par constater l’ampleur du problème : 63% des e-commerçants sont adeptes du géoblocage. Selon son lieu de connexion, sa nationalité ou son pays de résidence, un consommateur n’est pas traité de la même façon, et ne peut pas accéder aux sites de e-commerce de son choix. L’UE a donc décidé d’interdire la pratique, et fin 2018 marquera la fin des redirections automatiques vers des versions locales des sites marchands.

En principe, le texte garantit une égalité de traitement entre tous les consommateurs de l’Union Européenne. Les conditions de paiement devront être les mêmes pour tous. Mais la Commission a prévu des exceptions. Les e-commerçants conservent le droit de ne pas livrer leurs produits dans certains pays de l’UE. Les prix peuvent rester différents selon la nationalité des clients, et sujet sensible s’il en est : les services en ligne d’oeuvres soumises au droit d’auteur ne font pas partie du champ d’application de la directive. La vente en ligne de musique, d’épreuves sportives ou de vidéos à la demande reste exclusivement nationale. Le détail du texte est disponible sur le site de la Commission Européenne.

Photo : © niroworld – Shutterstock.com

ECom: Womance et Boutique 1861 remportent les grands honneurs

Auteur: MARTIN JOLICOEUR

 

Andréanne Marquis, propriétaire de Womance a reçu un prix du CQCD.

Les boutiques en ligne, Womance et Boutiques 1861, deux détaillants québécois de vêtements et accessoires pour femmes, se sont vues honorées jeudi pour leur utilisation efficace et novatrice des technologies. Continuer la lecture de « ECom: Womance et Boutique 1861 remportent les grands honneurs »

Le consultant numérique devenu commerçant irrévérencieux

Auteur: JEAN-FRANÇOIS VENNE

[Courtoisie]

Quand un pro du marketing numérique se lance dans le commerce de détail, il ne faut pas s’étonner que l’aventure s’amorce en ligne. Ce fut le cas de la boutique pour hommes Rituels. Mais celle-ci explore maintenant bien d’autres canaux de distribution. Continuer la lecture de « Le consultant numérique devenu commerçant irrévérencieux »

Lightspeed lance un «Shopify killer»

Auteur: JULIEN BRAULT

Le détaillant de t-shirts montréalais Poches & Fils fait partie des premiers détaillants québécois à avoir bâti une boutique en ligne avec Lightspeed eCom. [Photo : courtoisie]

C’était écrit dans le ciel que les deux coqueluches des technos canadiennes finiraient par se marcher sur les pieds. Quelques semaines après l’inauguration des nouveaux bureaux de Shopify à Montréal, voici que Lightspeed lance ce matin Lightspeed eCom. La nouvelle plateforme de création de boutiques en ligne, issue de l’acquisition de la Hollandaise SEOshop en 2015, s’adresse en effet au même marché que Shopify.

«Nous nous attendons à devenir un vrai joueur dans le créneau du commerce en ligne et à ce que notre plateforme soit adoptée par des détaillants qui n’ont pas de boutiques physiques», lance le pdg de Lightspeed, Dax Dasilva, qui a interrompu ses vacances en Israël pour répondre à mes questions. Il fait valoir que la précédente plateforme de commerce en ligne de Lightspeed était beaucoup moins complète, puisqu’elle était avant tout une offre complémentaire destinée à ses clients utilisant déjà son logiciel en ligne de point de vente, la vache à lait de l’entreprise montréalaise.

Avec un forfait de base coûtant 51$ US par mois, Lightspeed eCom se positionne comme une solution plus coûteuse que ses principaux concurrents nord-américains. Notamment, le forfait le moins cher de Shopify coûte à peine 9$ par mois, et celui de Bigcommerce, 29 $ US par mois. C’est du reste un positionnement similaire à celui que la Montréalaise occupe avec son système de point de vente, qui vise les détaillants ayant un inventaire relativement étendu et plusieurs points de vente, laissant aux joueurs comme Square et Shopify les micros-commerces.

Pour justifier le prix supérieur de sa plateforme, Dax Dasilva explique qu’elle est assez puissante pour accompagner un détaillant local partout dans le monde. Or, selon Dax Dasilva, ses concurrents nord-américains ont avant tout été conçus pour des détaillants faisant affaire au Canada et aux États-Unis : «Parce qu’elle a été développée en Europe, notre plateforme a été conçue dès le début pour supporter plusieurs langues et plusieurs devises, lance Dax Dasilva. Je pense que les détaillants qui prennent de l’expansion avec d’autres plateformes pourraient atteindre leurs limites.»

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Source: http://www.lesaffaires.com/blogues/julien-brault/lightspeed-lance-un-shopify-killer/585860