Trois étapes pour créer une présence professionnelle en ligne

Cet article de blogue vous est présenté par l’Autorité canadienne pour les enregistrements Internet(ACEI), l’organisation qui est responsable de la gestion du registre de noms de domaine .CA au Canada. L’ACEI aide les petites entreprises, les entrepreneurs et les entreprises en démarrage à obtenir un site Web.

Si vous êtes un propriétaire d’entreprise, un pigiste ou un conseiller du monde numérique, il est important d’établir une présence en ligne forte qui vous permettra de gérer votre réputation et votre marque personnelle. Qu’une personne recherche votre nom en ligne ou visite directement votre site Web, certaines étapes peuvent vous aider à atteindre vos objectifs, qu’il s’agisse de vous démarquer aux yeux des consommateurs, d’élargir votre réseau ou de partager votre expertise avec des personnes de votre secteur d’activités.

Étape 1 — Examinez votre présence dans les médias sociaux

Jeter un coup d’œil aux paramètres de confidentialité de vos comptes dans les médias sociaux peut se révéler judicieux. Assurez-vous que tout le contenu personnel (comme vos photos prises en vacances sur le bord d’une plage) reste confidentiel, tandis que le contenu public – ou tout ce qui témoigne de vos compétences ou de votre expérience — peut faire l’objet d’une recherche par les gens qui ne font pas partie de votre réseau.

Bien des gens sont actifs sur LinkedIn, une plateforme consacrée au réseautage professionnel. Si vous décidez d’utiliser LinkedIn, veillez à réexaminer les renseignements de votre profil pour vous assurer de leur exactitude, ainsi qu’à les actualiser régulièrement.

Étape 2 — Créez votre propre site Web ou votre blogue

Le temps où il fallait être expert pour créer son site Web ou son blogue est révolu. Il peut se révéler très rapide, facile et peu coûteux d’entreprendre cette démarche et de cibler n’importe quel sujet. Libre à vous de mettre en valeur les services professionnels que vous offrez, de publier un CV plus interactif que le format de LinkedIn ou de faire étalage de bijoux personnalisés que vous fabriquez et vendez.

Si la création d’un site Web ou d’un blogue vous intéresse, il conviendrait d’abord d’enregistrer le nom de domaine, soit l’adresse numérique où il évoluera. L’Autorité canadienne pour les enregistrements Internet, l’organisme qui supervise les opérations des domaines .CA, a préparé pour vous des conseils sur l’enregistrement d’un nom de domaine et les façons de l’utiliser.

Étape 3 — Devenez blogueur invité

Votre expertise peut faire de vous un auteur invité de blogues établis au sein de votre industrie. C’est une manière géniale de faire circuler votre nom et d’assurer votre présence sur les sites adéquats – là où les gens de votre réseau se trouvent déjà.

Vous êtes prêt à entreprendre la création de votre présence professionnelle en ligne? Commencez dès aujourd’hui avec votre propre nom de domaine .CA.

Source: https://entreprisescanada.ca/fr/blogue/trois-etapes-pour-creer-une-presence-professionnelle-en-ligne/

Le site web de Mobilia au cœur de sa stratégie d’attraction de clients

Auteur: Lesaffaires

Source: https://www.lesaffaires.com/blogues/evenements-les-affaires/le-site-web-de-mobilia-au-coeur-de-sa-strategie-d-attraction-de-clients/598975

Mobilia

Pourquoi se hâter d’ouvrir des magasins dans l’Ouest canadien quand on peut tester le marché avec son site Internet ? Voyez comment Mobilia a choisi de s’implanter à Vancouver et à Calgary. Et comment elle se sert de son site pour générer davantage de visites dans ses huit magasins du Québec et de l’Ontario. 

Avoir pignon sur rue dans l’Ouest canadien figure dans le plan de croissance de Mobilia. Mais avant, l’entreprise veut se faire désirer. « On développe le marché uniquement en ligne pour le moment, car cela n’entraîne pas de coûts faramineux, explique sa directrice marketing et e-commerce, Sophie Ohayon. L’idée, c’est de se faire connaître et de créer des attentes en vue d’ouvrir un premier magasin dans trois ou quatre ans. »

Pour stimuler les ventes en ligne dans cette région, le détaillant de meubles mise sur un mélange d’événementiel, de relations de presse et de collaborations avec des influenceurs. Par exemple, une designer d’intérieur publie sur son blogue des photos des décors qu’elle crée avec des meubles de Mobilia. En septembre dernier, l’entreprise s’est aussi associée avec une autre designer pour meubler le lounge VIP d’une grande foire commerciale à Vancouver, le Interior Design Show.

« Ça nous a permis de faire parler de nous, dit celle qui fera partie des invités de lconférence e-Commerce, présentée par les Événements Les Affaires le 30 janvier prochain. On est quand même dans un secteur où il faut toucher et essayer les produits pour en comprendre la qualité. »

« Pour donner confiance aux consommateurs en notre marque, un site Internet ne suffit pas, poursuit-elle. C’est important d’avoir aussi une touche humaine, d’autant plus qu’on parle ici de vendre en ligne des canapés à 1500 $ ! Et si nous collaborons surtout avec des designers d’intérieur, c’est que les consommateurs utilisent beaucoup leurs services là-bas. »

Une stratégie qui fonctionne à merveille. Il y a un an à peine, Mobilia était totalement inconnue dans l’Ouest canadien malgré ses 51 ans d’existence. Depuis, elle y enregistre une croissance substantielle des visites sur son site. Le taux de conversion de visiteurs en acheteurs dans ce coin du pays est même deux fois plus élevé qu’au Québec et en Ontario. Une performance qui s’explique toutefois en partie par le fait que l’entreprise n’y a pas encore de points de vente physiques.

Passer du site web aux magasins

Au Québec et en Ontario, l’enjeu est non seulement de convertir les visiteurs du site web en acheteurs, mais aussi de les inciter à se rendre en boutique. « Le prémagasinage en ligne est ancré dans les habitudes des consommateurs, dit Sophie Ohayon. Mais nous remarquons aussi qu’ils peuvent faire plusieurs allers-retours entre le site et le magasin. »

Mobilia procède d’ailleurs en ce moment à une refonte complète de son site web dans le but d’augmenter son taux de conversion, en ligne et en magasin. « En analysant les transcriptions du clavardage en ligne, nous avons constaté que les clients posaient beaucoup de questions techniques sur les meubles, poursuit la conférencière. Notre nouveau site donnera donc une information plus détaillée, les dimensions de l’assise d’un fauteuil par exemple. » Il offrira aussi davantage de contenu de type idées déco. « Plus on déploie de mots-clés et de contenu, meilleur est le référencement », ajoute-t-elle.

L’entreprise songe aussi à se doter d’une plateforme qui permettrait à ses conseillers aux ventes de poursuivre la conversation amorcée avec des clients en magasin. « Ça pourrait prendre la forme d’un concept comme Pinterest où l’on pourrait partager des idées et des photos », donne en exemple Sophie Ohayon.

Le e-commerce européen devient réalité

Auteur: heso59

Source: http://www.commentcamarche.net/news/5870662-le-e-commerce-europeen-devient-realite

Le e-commerce européen devient réalité

Les consommateurs vont pouvoir plus facilement acheter sur les sites de tous les pays de l’Union Européenne.

(CCM) — Cette décision de la Commission Européenne va révolutionner le e-commerce en Europe, en mettant fin au blocage géographique des sites de vente en ligne. Concrètement, dès la fin 2018, les clients pourront acheter sur n’importe quelle version d’un site marchand.

Avant de trouver un accord sur cette nouvelle réglementation, les Etats membres ont commencé par constater l’ampleur du problème : 63% des e-commerçants sont adeptes du géoblocage. Selon son lieu de connexion, sa nationalité ou son pays de résidence, un consommateur n’est pas traité de la même façon, et ne peut pas accéder aux sites de e-commerce de son choix. L’UE a donc décidé d’interdire la pratique, et fin 2018 marquera la fin des redirections automatiques vers des versions locales des sites marchands.

En principe, le texte garantit une égalité de traitement entre tous les consommateurs de l’Union Européenne. Les conditions de paiement devront être les mêmes pour tous. Mais la Commission a prévu des exceptions. Les e-commerçants conservent le droit de ne pas livrer leurs produits dans certains pays de l’UE. Les prix peuvent rester différents selon la nationalité des clients, et sujet sensible s’il en est : les services en ligne d’oeuvres soumises au droit d’auteur ne font pas partie du champ d’application de la directive. La vente en ligne de musique, d’épreuves sportives ou de vidéos à la demande reste exclusivement nationale. Le détail du texte est disponible sur le site de la Commission Européenne.

Photo : © niroworld – Shutterstock.com

Pas de site Internet pour 40 % des entreprises de petite taille

Pas de site Internet pour 40 % des entreprises de petite taille

 

Dominique Lemoine – 24/02/2015

Plus de 40 % des petites entreprises du Canada n’auraient pas de site Internet, selon une recherche de l’Autorité canadienne pour les enregistrements Internet.Illustration du concept de paiement mobile

Selon l’Autorité canadienne pour les enregistrements Internet (ACEI), un organisme qui gère le domaine de pays de premier niveau .CA au Canada, ces entreprises auraient avantage à se mettre à l’heure du commerce électronique si elles veulent attirer un jour les jeunes adultes qui en sont à l’étape de faire des achats à partir de leur dispositif mobile.

Selon l’ACEI, sur la base de son rapport et dossier documentaire 2015, qui traite de l’état d’Internet au Canada, 20 % des jeunes de 18 à 34 ans ont fait un achat à partir d’un dispositif mobile.

Également, selon des données de Statistique Canada reprises par l’ACEI, les entreprises du Canada ont vendu plus de 136 milliards de dollars en biens et services sur Internet en 2013, par rapport aux 122 milliards de dollars de 2012.

De plus, toujours selon l’ACEI, les gens qui magasinent en ligne dépenseraient plus sur des sites Internet canadiens que sur des sites Internet internationaux.

Ainsi, « vendre aux gens du Canada au moyen de sites Internet canadiens peut constituer une stratégie de vente efficace », soutient l’ACEI, qui ajoute aussi que des gens magasinent en ligne avant d’acheter en magasin.

Source: https://www.directioninformatique.com/pas-de-site-internet-pour-40-des-entreprises-de-petite-taille/33840