Servez-vous des pages de destination et des petites données pour optimiser vos campagnes en ligne

Auteur:  Salar Chagpar, Ancien collaborateur

Un de mes premiers clients à BDC était un entrepreneur qui avait besoin d’aide après avoir investi annuellement plus de 50 000 $ dans des publicités Internet qui n’avaient à peu près rien rapporté. Continuer la lecture de « Servez-vous des pages de destination et des petites données pour optimiser vos campagnes en ligne »

Comment le native advertisting va booster votre business ?

Auteur: Linkjuice

Face à l’obsolescence de la publicité display, que s’apprête à s’aggraver avec la nouvelle version de Google Chrome annoncée pour février 2018, le native ad est plus que jamais une voie de recours salutaire. Mais oblige les marketeurs à trouver des partenaires et à se constituer un réseau.

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Face à la concurrence des écrans, les fabricants de jouets tentent de s’adapter

Auteur: Cécile Prudhomme

Source: http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/12/20/face-a-la-concurrence-des-ecrans-les-fabricants-de-jouets-tentent-de-s-adapter_5232106_3234.html#xQgYLUW0cjgJk0rD.99

Jouets de codage, applications pour smartphones, vidéos sur YouTube, les industriels du secteur s’efforcent de séduire une clientèle connectée.

 

Image de promotion pour la poupée «Barbie vidéo girl.

Un jeu sur mobile qui s’enrichit grâce à la série télévisée que l’enfant regarde simultanément ; une websérie produite par Mattel et diffusée sur YouTube Kids où Julie, 6 ans, livre à la manière d’un tutoriel de maquillage de blogueuse, ses secrets de jeu avec sa Barbie… les fabricants de jouets tentent de s’adapter aux nouveaux comportements des enfants.

« Il y a dix ans, pour tenter de vendre un produit, il suffisait de le mettre dans un catalogue et d’en faire un peu la publicité à la télévision. Or à 6 ans maintenant, ils regardent tous YouTube. On doit être là où les enfants sont aujourd’hui », constate Christophe Salmon, directeur général de Mattel France.

Objectif des marques ? Enrayer un phénomène que les fabricants déplorent année après année : attirés par les écrans, les plus jeunes quittent le monde du jouet de plus en plus tôt. 36 % des enfants de 7 à 12 ans possèdent déjà leur propre tablette, 22 % ont un smartphone et 19 % un ordinateur, selon l’étude Ipsos Junior Connect, publiée en mars. Et ils passent 6 heures 10 sur Internet en moyenne par semaine, là où, en 2012, ils n’y consacraient que 4 heures 50. Et les plus jeunes ne sont pas épargnés : les moins de 6 ans « surfent » pendant 4 heures 37 par semaine, contre 2 heures 10 quatre ans plus tôt.

Pour suivre cette évolution, Mattel a accéléré significativement ses investissements dans les contenus sur Internet. « Quand nous dépensions 100 euros en télévision, c’est aujourd’hui 80 et 20 euros dans le digital. Et l’ambition d’ici deux à trois ans est de passer à 60-40 euros », explique M. Salmon.

Consommateurs de contenus

« En moyenne, la plupart de nos jouets sont destinés aux 6-7 ans, précise Mathilde Dezalys, directrice générale de Bandai France. Mais notre jeu sur mobile lié à la série télé autour de Zak Storm s’adresse aux 6-12 ans. C’est une manière de démarrer lorsque les enfants sont assez jeunes